Reconquerir son ADN (eBook)
150 Seiten
Editions Ariane (Verlag)
978-2-89626-318-9 (ISBN)
Combinant l'art de la guerison avec la recherche de pointe, l'auteure nous montre comment travailler sur notre ADN au niveau energetique afin de le ramener a son etat initial. Cette technique absolument extraordinaire permet de reprogrammer notre ADN a partir de schemes positifs, ce qui entraine des benefices allant bien au-dela de notre sante. Comme pour la couleur de nos yeux et la forme de notre nez, nous avons hrit de nos anctres des schmes d'motions et de croyances qui, profondment enchsss en nous l'instar des secrets familiaux immmoriaux, influent sur notre sant, notre prosprit et nos relations avec les autres, et ce, d'une manire que nous ne pouvons absolument pas souponner. Margaret Ruby a dvelopp une technique visant isoler et inverser nergtiquement les traumatismes et les schmes ngatifs hrditaires. Dans Reconqurir son ADN, elle nous rvle le processus novateur en cinq tapes par lequel plusieurs personnes, un peu partout dans le monde, ont russi neutraliser leur programmation hrditaire inconsciente et rinitialiser leur code gntique en vue d'un bien-tre total et d'une parfaite abondance.
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Notre héritage émotionnel
Le plan de vie inscrit en code dans notre ADN comporte une immense quantité d’informations et de schèmes émotionnels inconscients. Une fois que ces schèmes sont installés, leurs effets se perpétuent automatiquement.
Nous savons comment cela fonctionne en ce qui concerne le corps, qui crée constamment de nouvelles cellules, mais pas nécessairement de nouveaux schèmes. Il lui faut six semaines pour fabriquer de nouvelles cellules du foie, trois à quatre semaines pour renouveler les cellules de la peau, quatre jours pour les cellules de l’estomac, et seulement deux jours pour régénérer celles des yeux. En fait, notre corps remplace en moyenne 2,5 millions de cellules à la minute par la régénération cellulaire, et pourtant les schèmes corporels ne changent pas très souvent. Par exemple, même si les cellules du foie se remplacent toutes les six semaines, un individu chez qui l’on aurait diagnostiqué un cancer du foie en juillet peut très bien avoir encore ce cancer en décembre. Cela rendait perplexes les chercheurs jusqu’à ce qu’ils découvrent que l’ADN contient le code du cancer. Même si de nouvelles cellules sont créées constamment, elles se reproduisent avec la défectuosité dégénérative déjà inscrite dans l’ADN.
Il en est de même des schèmes émotionnels encodés dans notre ADN. L’héritage émotionnel transmis par nos ancêtres est responsable des schèmes positifs ou négatifs qui se reproduisent constamment dans notre vie.
Dans mes travaux au cours des ans, j’ai constaté que malgré tous nos efforts pour modifier tel ou tel schème émotionnel – colère, anxiété ou dépendance –, ce schème se perpétue tant que nous n’avons pas mis au jour la véritable source du défaut, soit les épisodes ancestraux qui nous ont été légués au plus profond de nous-mêmes.
Combinés à d’autres facteurs, les «épisodes» familiaux enchâssés dans notre ADN peuvent être la cause de notre richesse ou de notre pauvreté, de notre obésité ou de notre maigreur. Ils peuvent aussi être la cause de nos dépressions, de notre tendance au divorce et de notre attirance pour la musique ou l’architecture. Que nos blocages se situent sur le plan financier, professionnel ou relationnel, tout ce qui va bien ou ne va pas bien dans notre vie dépend des épisodes programmés dans notre code génétique, et ces schèmes ne changeront pas tant que la programmation interne ne sera pas modifiée. Pour restaurer l’intégralité, il nous faut d’abord déceler l’épisode qui a créé le schème en question.
Voici un exemple qui illustre bien comment cela fonctionne. Un jour d’Action de grâce, une fillette de cinq ans aidait sa mère à préparer le repas dans la cuisine. Comme c’était une enfant curieuse, elle dit à sa mère: «Maman, j’aime beaucoup ton jambon. Dis-moi comment tu le fais.» Sa mère lui répondit: «On prend un beau gros jambon et on met dessus de la moutarde, un peu de sucre brun et quelques clous de girofle. On coupe ensuite les deux bouts et on le dépose dans la casserole.» La fillette interrompit alors sa mère: «Mais pourquoi on coupe les deux bouts?» Sa mère lui répondit simplement: «Je ne sais pas. Ma mère le faisait toujours comme ça.»
Comme sa grand-mère se trouvait là en ce jour d’Action de grâce, la fillette alla lui demander avec sa mère pourquoi elle coupait toujours les deux bouts du jambon. La vieille dame lui répondit: «Je ne sais trop, mais puisque ton arrière-grand-mère est ici, tu peux le lui demander.» Elles se rassemblèrent alors toutes autour de l’aïeule pour lui demander comment elle faisait cuire le jambon. Celle-ci leur expliqua qu’elle mettait toujours du sucre brun, de la moutarde et des clous de girofle, puis qu’elle coupait les deux bouts du jambon. «Mais pourquoi vous coupiez les deux bouts?» lui demanda la fillette. Son arrière-grand-mère lui répondit: «Ma pauvre petite, ma casserole n’était pas assez grande pour y mettre tout le jambon!»
Un schème qui s’est établi se reproduit de génération en génération même si les conditions qui l’ont causé n’existent plus. Dans l’exemple qui précède, l’esprit conscient avait la possibilité de remonter les générations pour savoir comment le schème avait débuté. Cependant, lorsqu’un schème date de plusieurs générations, il n’y a plus personne de vivant pour nous en expliquer l’origine.
L’activation d’anciens souvenirs
Nous avons tendance à croire que nous développons certains schèmes émotionnels et certaines attitudes devant la vie à partir de l’exemple des membres de notre famille ou des personnes qui nous ont éduqués. Bien que ce soit certainement là un facteur toujours présent, il n’explique pas tout. Il n’explique pas, par exemple, la peur de l’eau qu’éprouvent certaines personnes alors qu’elles n’ont eu dans leur vie aucune mauvaise expérience pouvant engendrer cette crainte en elles. Si vous avez vraiment peur de nager dans l’eau, il est fort probable que vos gènes portent le souvenir d’un ancêtre qui s’est noyé. Si vous éprouvez une peur irrationnelle, elle provient vraisemblablement d’un événement réel qui s’est produit quelque part, à une certaine époque, dans votre lignage ancestral*.
Un jour, nous emmenèrent l’un de nos petits-fils, alors âgé de trois ans, voir les feux d’artifice du 4 juillet. Nous avions hâte, car cet enfant aimait beaucoup les spectacles et nous étions certains qu’il adorerait celui-là. Pourtant, dès le premier «Bang!» il fut terrifié, au point que nous dûmes très vite quitter les lieux. Quand nous fûmes rendus à la maison, il nous demanda de fermer tous les rideaux et de nous cacher. Je sentis que sa terreur provenait d’un souvenir génétique.
Je me rappelai alors que mon père avait été affecté à une patrouille de ski dans les Alpes italiennes pendant la Deuxième Guerre mondiale. Il ne parlait jamais de cette période de sa vie et nous interdisait de lui poser toute question à ce sujet. Sur son lit de mort, alors qu’il était sur le point de passer dans l’autre monde, il revécut ce moment de sa vie. Il évoqua l’horreur des combats, sa traversée des vallées où des milliers d’hommes avaient péri. Ma mère me parla des fréquents cauchemars qu’il faisait et je pouvais sentir sa grande douleur ainsi que sa peur des bruits de la guerre. Me souvenant que mon père souffrait de nombreuses phobies, je me rendis compte que l’horreur qu’il avait vécue avait créé une mutation dans le gène lié aux phobies et que cette mutation avait été transmise à mon petit-fils.
Les généticiens parlent de gènes «activés» ou «désactivés». Certaines cellules expriment (activent) certains gènes et en répriment (désactivent) d’autres. Cela fait partie de la «régulation génétique» grâce à laquelle, par exemple, les cellules du foie sont différentes de celles du cerveau. Les scientifiques cherchent maintenant à trouver ce qui active ou désactive tel ou tel gène, dans l’espoir que cela fera grandement progresser la génétique. Dans mes propres travaux au cours des ans, j’ai découvert que nos émotions constituent le facteur clé déterminant quels gènes sont activés ou désactivés.
Quand j’affirme que des gènes sont «activés» ou «désactivés», j’entends par là que les programmes génétiques dont nous héritons ne s’expriment pas toujours immédiatement à la naissance. Parfois, certains schèmes particuliers n’apparaissent dans notre vie que s’il se produit quelque chose qui les déclenche ou les active. Par exemple, une certaine maladie peut se trouver à l’état potentiel dans nos gènes, mais ne se manifestera que si une émotion, ou un événement particulier, vient raviver un ancien souvenir, réveillant ainsi le gène dans lequel elle est inscrite. Comme pour plusieurs fonctions corporelles, tout cela se passe à notre insu.
Dans son ouvrage intitulé Marcher entre les mondes / La science de la compassion, Gregg Braden évoque l’influence des émotions sur notre ADN. Il cite les travaux du généticien Dan Winter, lequel soulève la possibilité que l’émotion (qualifiée d’onde longue par Winter) programme l’onde courte de l’ADN et que l’interaction de la forme d’onde de l’émotion sur la double hélice détermine en quelque sorte le site d’activité ou d’inactivité du code génétique. «Les implications de cette seule étude, écrit Braden, sont vastes et profondes, car elles font entrevoir un lien possible entre l’ADN et l’émotion1.»
Le traumatisme déclenche la maladie
Ce qui est survenu à un adolescent que nous nommerons Sam constitue un parfait exemple du déclenchement d’une maladie par un traumatisme subi dans cette vie-ci. À l’âge de 16 ans, ce garçon développa soudainement une allergie au blé, alors qu’il n’avait jamais été incommodé par cette céréale auparavant. Cette allergie nouvellement apparue chez Sam était très sérieuse: s’il mangeait du blé, son corps manifestait les symptômes de la mort. Alors que je travaillais avec lui en utilisant les techniques d’autoguérison de l’ADN, nous avons tous les deux découvert que l’épisode génétique sous-jacent à son problème remontait à quatre générations, précisément à son arrière-grand-père. À 16 ans, ce dernier avait émigré aux États-Unis après que sa famille eut été massacrée dans un champ de blé en Russie. Le blé demeura donc pour toujours associé à la mort dans son esprit. Cet...
Erscheint lt. Verlag | 20.6.2016 |
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Übersetzer | Royer Louis Royer |
Sprache | französisch |
Themenwelt | Sachbuch/Ratgeber ► Gesundheit / Leben / Psychologie ► Entspannung / Meditation / Yoga |
Sachbuch/Ratgeber ► Gesundheit / Leben / Psychologie ► Esoterik / Spiritualität | |
Sachbuch/Ratgeber ► Gesundheit / Leben / Psychologie ► Lebenshilfe / Lebensführung | |
Geisteswissenschaften | |
ISBN-10 | 2-89626-318-7 / 2896263187 |
ISBN-13 | 978-2-89626-318-9 / 9782896263189 |
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