Thérapie antirétrovirale et création de revenus

Les nouvelles infections chez les femmes augmentent plus rapidement que chez les hommes. En Afrique subsaharienne, les femmes séropositives sont plus nombreuses que les hommes séropositifs. De nombreuses femmes, en particulier dans les zones rurales de l'Afrique subsaharienne, considèrent la pauvreté comme leur principale préoccupation, y compris le risque ou la réalité du VIH. Le nombre de personnes vivant avec le VIH s'élève aujourd'hui à près de 40 millions. Les femmes séropositives travaillent dans différents centres de services publics, ce qui leur permet de gagner leur vie. Les résultats ont montré que la plupart des personnes séropositives n'ont pas d'autres biens que leur maison. Par conséquent, les femmes ne devraient pas se décourager parce qu'elles n'ont pas de matériel et elles devraient être courageuses car elles en auront si elles accordent plus d'attention à leur entreprise. Les directives en matière de traitement antirétroviral ont évolué au fil du temps. Avant 1987, aucun médicament antirétroviral n'était disponible et le traitement consistait à soigner les complications de l'immunodéficience. Après l'introduction des médicaments antirétroviraux, la plupart des cliniciens ont convenu que les patients séropositifs devaient participer à la vie sociale sans avoir le sentiment de vivre avec la stigmatisation.