Johann Sebastian Bach - Cembalokonzert Nr. 2 E-dur BWV 1053

Zur Aufführung sind zwei Exemplare erforderlich

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It is almost impossible to tell from listening to them that Bach’s extremely popular concerti for harpsichord were probably his own transcriptions of solo concerti which had originally been composed for violin or a woodwind instrument. The outer movements of the second concerto, in E major, probably written around 1738, sparkle with joy, while the expressive melodic lines of the middle movement, the Siciliano in C-sharp minor, transport the listener to the realm of his Passion music.G. Henle Publishers presents this repertoire standard in an Urtext edition with an extensive commentary. The study edition (HN 7381) features the complete orchestral score; the piano reduction (HN 1381) contains the solo part as well as a very playable piano reduction of the score prepared by Johannes Umbreit for practical use. Particulièrement appréciés, les concertos pour clavecin de Bach sont, selon toute vraisemblance, des transcriptions réalisées par Bach lui-même de concertos pour solistes originellement destinés au violon ou à un instrument à vent de la famille des bois: mais rien ne permet de l’entendre le moins du monde. Le deuxième Concerto en Mi majeur, composé probablement vers 1738, répand dans les premier et dernier mouvements une joie communicative, alors que la Sicilienne en ut dièse mineur du mouvement central, avec son traitement mélodique si expressif, emporte l’auditeur dans les sphères de la musique de ses passions. Les Éditions G. Henle présentent cette pièce de répertoire dans une édition Urtext au commentaire détaillé. L’édition d’étude (HN 7381) propose la partition d’orchestre intégrale, et la réduction pour piano (HN 1381) comporte la partie de soliste ainsi qu’une réduction pour piano que la réalisation de Johannes Umbreit a rendue très accessible dans la pratique. Dass es sich bei den überaus beliebten Cembalokonzerten Bachs vermutlich um Bachs eigene Bearbeitungen von Solokonzerten handelt, die er ursprünglich für Violine oder ein Holzblasinstrument komponiert hatte, hört man ihnen nun wirklich nicht an. Das wohl um 1738 entstandene zweite Konzert, in E-dur, verbreitet in den Ecksätzen sprühende Heiterkeit, das dazwischen erklingende Siciliano in cis-moll hingegen entführt den Zuhörer mit seiner ausdrucksstarken Melodik in die Sphären seiner Passionsmusiken.Der G. Henle Verlag legt dieses Repertoire-Stück in einer ausführlich kommentierten Urtextausgabe vor. Die Studien-Edition (HN 7381) bietet die komplette Orchesterpartitur, der Klavierauszug (HN 1381) enthält die Solostimme sowie einen Klavierauszug, der von Johannes Umbreit gut spielbar für die Praxis eingerichtet wurde.